Le regard des gens sur leur entourage reflète souvent un sentiment profondément enraciné, formaté dès la naissance sous forme de discrimination sociale. En effet, la société vit sous le régime de la perception et de la discrimination, et personne n’échappe à cette logique.
Le riche et le pauvre sont tous deux autant rejetés que flattés pour des raisons qui, d’un côté, flattent et rejettent la vanité, et de l’autre côté, se réjouissent dans la miséricorde tout en exprimant leur haine de la pauvreté. L’homme est d’une complexité inouïe.
Lorsqu’on observe les réactions des gens dans des circonstances particulières où la raison devrait l’emporter sur l’émotion, on est souvent surpris par le type de langage utilisé et le comportement adopté. Certains gestes révèlent une ingratitude féroce et une impatience guerrière.
Vous avez probablement vu le film “Les attitudes” où les personnages adoptent des attitudes extrêmes en fonction de leurs sentiments du moment. Ces “attitudes” décrivent un personnage qui ne comprend pas qu’on ne peut pas vivre sur deux planètes à la fois, et qu’on ne doit pas ignorer que la vie est une vaste supercherie, plaçant l’homme où elle veut, dans un rôle où c’est à prendre ou à laisser.
Alors mefiez -vous des gens à qui vous parlez qui vous regardent droit dans les yeux sans vous répondre ou qui adoptent une attitude d’occupation pour ne pas vous répondre. Ce sont des gens fermés, cloisonnés dans leurs idées, égoïstes, sûrs d’eux-mêmes, qui pensent que la raison est leur création.
Ils ont tendance à rejeter tout ce qui ne correspond pas à leurs croyances et à leurs opinions, sans même prendre la peine de considérer d’autres points de vue.
En effet , méfiez-vous des gens qui refusent de discuter ou de débattre de manière constructive.
La vie est un choix et ce choix c’est ce qu’on decide de faire de sa vie.
Eyroll Claude Jean, Fondateur et Premier Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Nord’Ouest