Une femme Slidell a été arrêtée et accusée d’avoir aidé un fugitif qui est encore en liberté de la Capture d’élude de jailbreak massive de la Nouvelle-Orléans, a annoncé la police de l’État de Louisiane.
Connie Weeden, 59 ans, a été placée en garde à vue à Slidell et condamnée jeudi au centre correctionnel de la paroisse de St. Tammany. En plus des employés de prison, elle est la troisième personne arrêtée pour avoir aidé les détenus échappés du Orleans Justice Center.
Weeden fait face à une accusation de crime d’accessoires après coup pour avoir prétendument aidé Jermaine Donald, l’un des cinq évadés toujours en fuite.

Une capture d’écran tirée d’une vidéo de vidéosurveillance montre des détenus qui traversent le quai de chargement au Orleans Parish Justice Center, à la Nouvelle-Orléans, le 16 mai 2025.
Bureau du shérif de la paroisse d’Orléans via Reuters
“Weeden était en contact par téléphone avant et après l’évasion”, ont déclaré des responsables du LSP dans un communiqué. “Les enquêteurs ont déterminé qu’après l’évasion, elle a fourni à Donald de l’argent via une application de téléphone portable.”
Donald reste en liberté, ainsi que quatre autres personnes qui ont éclaté du Orleans Justice Center le 16 mai. Les autorités ont repris cinq des 10 originaux qui se sont échappés.
Les responsables de l’application des lois ont averti qu’aider les fugitifs à avoir de graves conséquences. “Ceux qui choisissent d’aider ou de cacher ces personnes violent la loi et seront tenus responsables”, a déclaré la police d’État. “Les fugitifs hébergés menacent la sécurité de nos communautés et ne seront pas tolérés.”
En vertu de la loi de la Louisiane, une condamnation pour accessoire après coup supporte une pénalité pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison, une amende pouvant aller jusqu’à 500 $, ou les deux.
Le LSP a annoncé mercredi que Cortnie Harris, 32 ans, et Corvanntay Baptiste, 38 ans, ont été arrêtés et accusés de crimes d’accessoires après coup. Ils ont tous deux été réservés au centre de détention de la paroisse Plaquemines, ont indiqué des responsables.

La cellule de l’Orléans Justice Center à la Nouvelle-Orléans où les détenus se sont apparemment échappés.
Bureau du shérif de la paroisse d’Orléans
Plus tôt jeudi, le procureur de la paroisse de la paroisse d’Orléans a publié des assignations au shérif de la paroisse d’Orléans Susan Hutson et d’autres membres du personnel de l’OPSO dans le cadre d’une enquête en cours sur l’évasion des détenus.
L’ordonnance a demandé l’accès aux e-mails, aux messages texte, aux messages internes, à Hutson et à d’autres employés et entrepreneurs de l’OPSO, y compris ceux de Sterling Williams, le travailleur de l’entretien de la prison qui a été arrêté dans le cadre du jailbreak.
Williams, un agent d’entretien de 33 ans au Orleans Parish Justice Center, a été arrêté et réservé en prison mardi matin, selon le procureur général de la Louisiane, Liz Murrill.
Williams aurait fermé l’eau dans des toilettes pour aider à ouvrir la voie aux détenus pour s’échapper, ont indiqué des sources. Les prisonniers, dont trois qui sont accusés de meurtre au deuxième degré et qui restent en fuite, ont pu sortir après avoir arraché les toilettes de ses charnières.
Quatre autres employés de prison ont été suspendus dans cette enquête.